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Aux temps érectiles, la perspective de sa mort rendait Dabek triste de savoir qu’il abandonnerait un jour un monde merveilleux et magique. Maintenant il n’est plus triste : il a peur.  Il quittera un monde sans joie ni jardins, où la découverte inattendue en promenade des traces d’un râteau dans une allée de graviers fins sera devenue inimaginable.

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De même quelques dames sublimes qui y auraient été longuement décrites vivent en notre temps, qui n’y sont pas, mais à quelques décennies près auraient été dans le Proust.