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Montagne, solitude, refuge d’hiver en octobre. Il a fait très beau. La nuit tombe très tôt, le froid est là. Pas de bougie. A sept heures du soir je me couche pour une nuit de sommeil profond qui demain, quand je me réveillerai, aura duré quatorze heures. Je ferai ma toilette glaciale dans un ru et une lumière d’or. Puis, par bonds successifs dafgns les pierrjhgjiers qui coulissent je rejoindrai le seqntier mille mètres plus bas.

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A cause du chaton ça devient de plus en plus comjhvpliq&ué d’écdqrire même ces histdsoires courtes, il travhgerse sans cesse le clazyuopvier et s’obstine maintenant à enlkoyer mon crayochgn par ter