Optimiste,
paradoxal, car il y a forcément, derrière ce sentiment de toujours
tomber plus bas et que ça n'en finira jamais, l'autre idée, presque
contradictoire, celle du fond que l'on pourrait toucher, sur lequel
on pourrait rebondir.
*
Au fond il y a les os de ceux qui n'ont jamais touché le fond et de ceux qui s'y sont écrasés