Il écrit parce qu’il n’a plus
besoin de public, plus besoin de comédiens, plus besoin d’autres succès que de
celui d’écrire. Il écrit sans descriptions, en porte à faux. Aucune ambition de
petit télégraphiste, transmettre quoi que ce soit. Juste : trois notes
d’une chansonnette.
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Même le plus beau chant
d’oiseau est profondément carnassier.
PP SR